Résumé, le visage mouvant de l’hôtellerie française
- Le secteur hôtelier français, parcouru de mutations et de soubresauts imprévisibles, garde sa capacité fascinante à attirer voyageurs et curieux, tout en s’appuyant sur un héritage qui ne demande qu’à se réinventer chaque saison.
- L’évolution se mesure : environ 16 850 hôtels recensés début 2023, soit un lent reflux sur dix ans, mais les hôtels pèsent encore lourd dans le paysage touristique, concentrant près de 40% des nuitées, bien au-delà de la simple part de marché numérique.
- Entre l’indépendance de province, les chaînes qui tissent leur toile et la montée des palaces iconiques, la créativité régionale déborde, chahutant les repères traditionnels et prouvant que la France, décidément, ne se laisse jamais enfermer dans un classement figé.
Qu’est-ce qui rend le secteur hôtelier français aussi magnétique ? Voilà un monde qui intrigue, qui fascine, qui échappe parfois à toute prévisibilité. Les dynamiques ? Elles remuent le marché comme un grand courant marin, secouant les vieilles habitudes pour mieux pimenter le paysage. Qui n’a pas déjà été bluffé par la capacité des hôteliers de France à charmer les voyageurs du monde entier ? Derrière chaque façade, chaque enseigne, une région prend la responsabilité d’accueillir un bout du globe.
Cela titille la curiosité : combien d’hôtels nichent vraiment sur le territoire ? Réussir à saisir toute la palette, ça devient un défi quasi artistique. Entre les chiffres qui tombent (régulièrement remis à jour, il faut le dire !), on attrape la tendance, on devine l’air du temps, on mesure l’ingéniosité sans cesse renouvelée des pros de l’hébergement qui jonglent entre héritage et nouveautés — et franchement, voir cette industrie muter, ça donne presque envie de boucler une valise rien que pour l’expérience et de suivre une formation hotellerie de luxe.
Le véritable panorama du nombre d’hôtels en France, qui l’affirme ?
Avant de savoir si vous souhaitez travailler en hôtellerie, il faut connaître la data, l’INSEE et Atout France rameutent le nombre : 16 850 hôtels recensés au 1er janvier 2023. Voilà le chiffre officiel, celui qui s’affiche lors des grandes messes du secteur ou dans les dossiers ministériels. Méthodique, carré, validé par le code du tourisme qui ne laisse pas passer une valise sans son étiquette. Ce qui frappe : la France, grande prêtresse du tourisme mondial, épie ces chiffres avec l’œil du faucon, les actualisant à la moindre brise. Chaque nouvelle statistique devient alors la boussole de ceux qui tentent d’anticiper la vague suivante. Et soudain, on perçoit le rôle de cette donnée : elle oriente, elle inspire, elle fait jaser les professionnels, les décideurs, et mêmes ces chercheurs qui grattent toujours plus loin.
Pour ceux qui aiment les résumés bien nets :
Nombre d’hôtels en France métropolitaine au 1er janvier 2023 : 16 850 (Source : INSEE, Atout France)
Cette statistique, rafraîchie régulièrement, s’impose comme la base à toute lecture sérieuse du paysage hôtelier français.
Comment compte-t-on les hôtels, d’ailleurs ?
Ici, l’INSEE s’accroche à des critères presque cérémonieux. Seuls les hôtels « classés » se retrouvent sur la photo : ceux qui ouvrent leurs portes contre paiement, qui affichent réception, qui s’engagent dans les règles du jeu du classement hôtelier, entre zéro et « Palace ». Exit tout ce qui ressemble de près ou de loin à un Airbnb, un camping, une résidence de tourisme, même les gîtes ruraux débordent du cadre. Tout ce vivier fait tapisserie : on ne veut du chiffre que l’hôtel estampillé selon la grille nationale. Est-ce que cela agace certains ? Bien sûr. Mais l’ordre fait parfois du bien à la confusion.
Quelle part pèsent les hôtels face à la ruche de l’hébergement touristique ?
Avec 16 850 adresses référencées début 2023, les hôtels représentent grosso modo 20 % des solutions d’hébergement touristique en France métropolitaine. Ce n’est pas rien, mais attendez la suite : ils cumulent environ 40 % des nuitées. Oui, le double de leur part en établissements. Les campings ? Ils titillent les 33 %, et les résidences de tourisme en grappillent 20 %. Au fond, les hôtels déploient près de 660 000 chambres, 1 320 000 lits : de quoi accueillir tout un village, voire quelques villes moyennes en pleine saison. Et malgré la vague des locations entre particuliers, la vieille hôtellerie n’a pas dit son dernier mot. Pourquoi ? Parce que ni la qualité, ni le panel de services, ni le goût de l’expérience douce-amère de la réception à l’aube ne se démodent jamais.
Chiffres clés : comment s’y retrouver ?
Besoin de tout visualiser d’un coup d’œil ? Facile, il suffit de regarder les données extraites à la loupe, au matin du dernier pointage.
| Indicateur | Valeur (2023) | Source |
| Nombre d’hôtels | 16 850 | INSEE |
| Nombre de chambres | 660 000 | INSEE |
| Nombre de lits | 1 320 000 | INSEE |
Ces chiffres posent toujours la même question, un peu obsédante : va-t-on assister à une suite d’ouvertures, de fermetures, ou à une révolution discrète mais profonde façon jeu de chaises musicales ?
L’évolution du parc hôtelier français : vers où souffle le vent ?
Là, on touche à une corde sensible. Plus qu’une tendance sur la courbe, ce qui se joue, c’est un roman national où chacun devine l’intrigue du chapitre à venir.
Moins d’hôtels en France : accident de parcours ou logique du marché ?
Si l’observation de la dernière décennie vous donne le tournis, c’est normal. En 2013, la France enchantait 18 300 hôtels. Dix ans plus tard, elle en compte 16 850. On parle d’un effritement tout en douceur, moins de 8 %, et pourtant, chaque fermeture de clé résonne quelque part. Entre 2013 et 2018, la pente était franche : moins d’établissements, davantage de concentration. Puis, de 2020 à 2023, le rythme s’est calmé. Oui, même Covid-19 soudain devenu un vilain personnage de l’histoire n’a pas démoli tout le décor. Certain(e)s s’amusent d’une quasi-stagnation. D’autres flairent un marché qui se redessine en douce.
| Année | Nombre d’hôtels |
| 2013 | 18 300 |
| 2018 | 17 500 |
| 2020 | 16 900 |
| 2023 | 16 850 |
Cette suite de chiffres tourne en boucles : recul, reprise, stationnement sur place, à chaque ligne, une histoire de familles ou de projets qui se poursuivent ailleurs. Ce marché, qui croit toujours en ses valeurs, ne cesse de muter.
Butler Academy, ou l’art de (se) former à la française
Dans un univers hôtelier où chaque détail compte, Butler Academy s’impose comme une référence incontournable pour celles et ceux qui rêvent de maîtriser l’excellence à la française. Spécialisée dans les formations en hôtellerie de luxe, elle incarne cette rigueur bienveillante et cette élégance discrète qui font la réputation internationale du savoir-recevoir français.
Ici, l’apprentissage se fait dans l’esprit des grandes maisons : exigence, précision, humanité. Les formateurs, tous issus du terrain, transmettent un art de vivre avant même un savoir-faire. Car l’hôtellerie de luxe, ce n’est pas seulement savoir dresser une table parfaite ou orchestrer un service impeccable ; c’est comprendre le client, anticiper son besoin avant même qu’il ne s’exprime, et faire de chaque séjour une expérience inoubliable.
Les groupes sont petits, la pédagogie s’adapte, les langues se croisent – parfois un mot d’anglais s’invite, parfois c’est le chinois. On rit, on recommence, on ose questionner. Rien de figé, tout à apprendre, tout à désapprendre, pour que l’humain reste, toujours, au centre.
Plus d’informations sur le nombre d’hôtels en France
Combien y a-t-il d’hôtels en France ?
Alors, vous pensiez pouvoir compter tous les hôtels français sur vos doigts ? Bonne chance ! En France, environ 18 000 hôtels, oui, 18 000 ! On croise tout : l’auberge de village où le temps s’arrête, la chaîne urbaine qui ne dort jamais, la chambre d’hôtes qui sent la confiture maison. Ce n’est jamais figé, ça bouge tout le temps, comme le métro aux heures de pointe. Qui dit mieux pour se loger à la dernière minute ou dénicher un trésor caché pour une nuit ?
Quel pays a le plus d’hôtels ?
Le match des hôtels : les États-Unis jouent la carte XXL, évidemment, impossible de rivaliser sur la quantité ! Pourtant, la France n’a pas à rougir, elle talonne fièrement avec sa myriade d’adresses qui jaillissent partout. On parle de milliers d’hôtels, de la Méditerranée à la frontière belge. La France, c’est ce doux mélange entre palace qui tutoie les nuages et petit hôtel à la sortie d’une gare. Les États-Unis en tête, la France juste derrière, l’Italie qui guette au loin : la compétition est rude, mais la diversité française fait toute la différence.
Quel est le salaire moyen d’un hôtelier ?
Dans l’hôtellerie, les salaires dansent la valse, chacun sa cadence. Le directeur d’hôtel vise souvent les 45 000 à 50 000 euros par an, une vraie boussole pour garder tout ce monde à flot. Pour le directeur d’hébergement, cap sur 36 000 à 40 000 euros. La gouvernante, autour de 35 000, le réceptionniste vers 29 234, tout pile. Même le concierge, 20 000 euros, y trouve sa place. Il y a des chiffres, mais surtout des journées qui ne se ressemblent jamais. Ça paie l’aventure, la passion, les anecdotes à raconter au petit-déjeuner.
Quel est le seul hôtel 7 étoiles du monde ?
Le mystère plane, la rumeur court, et pourtant : un seul hôtel ose afficher 7 étoiles ! Direction Dubaï, le Burj Al Arab Jumeirah : une voile posée sur le sable, des suites à couper le souffle, des Rolls en file indienne, un spa avec vue sur l’infini. Difficile de s’y croire, même quand on y est. Le mot « luxe » semble soudain bien banal. On y croise le monde entier, on y vit l’extraordinaire. Sept étoiles, un rêve, et c’est la magie qui opère dès la porte franchie.
